Les édifices remarquables

L’Hôtel de ville

 

Dès 1925, l’ancienne mairie située sur la place de la Victoire apparait trop exiguë. C’est ainsi qu’en 1929 la nouvelle mairie est construite sur la place du Minage (actuelle place de la République). L’architecte a tiré un excellent parti de l’édifice en y ajoutant deux belles salles de chaque côté, se prolongeant toutes deux avec un léger avancement : celle de droite fut la « Salle du Conseil », l’autre la « Salle de la Justice de Paix ». Elle fut inaugurée le 16 décembre 1929, en présente de M. Germain Martin sous-secrétaire d’État aux PTT.

L’Hôtel de ville a été entièrement rénové et modernisé en 2010.

Le monument aux Morts

Situé au pied de l’église, le Monument aux Morts est un élément d’articulation, par sa position en angle et à deux niveaux, entre la place de la Victoire et la place du 14 juillet.

 

Érigé en pierre de Chancelade en 1922, le monument se compose d’une colonne soutenue par deux contreforts et couronnée d’un vase de pierre et d’un casque de poilu créé par le sculpteur périgourdin Pugnet. Sur la face principale, place de la Victoire, les noms des astériens morts pour la France sont gravés sous l’inscription « Dormez en paix ». Sur l’autre face, en surplomb de la place du 14 juillet, les armoiries de la ville sont sculptées sous deux palmes en bronze et l’inscription « La commune de Saint-Astier à ses morts »


■ Le Monument aux Morts est inscrit en totalité à l’inventaire des Monuments historiques (arrêté du 21 octobre 2014)

La statue de Saint-Astier

Inaugurée en décembre 1901 et financée par une souscription populaire, la statue de bronze de l’ermite Astérius, fondateur de la cité remplace une antique statue de pierre qui tombait en ruines. L’aspect du glorieux anachorète est austère et doux ; en robe de bure, il tient à la main son bâton de pèlerin et un livre de prières.